LA CRISE QU'ON MONTRE DU DOIGT...

La Crise est-elle dernière nous?

En tout cas le gouvernement aura tout fait avec les médias afin de nous y faire croire...

Alors après la débâcle budgétaire sur les Vaccins de la Grippe Fantôme, le débat sur le voile intégral qui n'a pour but que de générer des dissensions entre les peuples de notre beau Pays inventeurs des Droits de l'Homme, et de nous faire oublier notre quotidien si morose, voilà que la Crise repointe le bout de son nez dans les médias suite à l'effondrement de l'économie Grecque et celle de l'Espagne et du Portugal qui vont suivre.

En réalité, en y réfléchissant personne n'aurait du être dupe, notre pouvoir d'achat diminue à chaque augmentation de l'énergie (essence, gaz, etc), car pour produire il faut l'utiliser...

Moi, je suis commerçant et la crise est bien présente et identifiable tant mes ventes diminuent avec un stock et des prix attractifs qui augmentent...
Et pour maintenir mon petit salaire que je m'octroie, je dois travailler plus, alors que l'on nous avait promis de gagner plus pour de tels conditions!!!

Alors que penser des brèves de comptoir tel que "De toute façon depuis l'euro on se fait E..."

En fait cela n'a rien à voir avec l'euro tout au moins pour l'essence même de cette crise.

Tout n'est que spéculation et la base même de notre monde financier.
Alors quand le Pantin Désarticulé de l'Élysée à force de gesticulation parkinsonienne de ses épaules et de sa tête, ose montrer du doigts les traders, les banques en les targant de "méchants spéculateurs", qu'est ce qu'on se marre en y réfléchissant un peu...

Pure démagogie quand on pense que c'est le principe même de notre économie, l'emprunt.
Et pour emprunter, il doit y avoir spéculateurs, bon ou mauvais.
Pour emprunter, il doit y avoir emprunteur et prêteur!

Et de toutes ses frasques notre président ne fera que discrédité son action qui a surement à l'origine le but de rassurer les marchés ou l'opinion publique.

En effet le plus grand emprunteur d'entre nous finalement est l'État dont la dette de 1500 milliards d'euros représente 80% de son PIB annuel.

Alors leçon de morale ou dénoncer et montrer du doigt le voisin ne ressoudera rien.

Pour reprendre à bon compte une fable de la Fontaine, apprenez chers lecteurs "que tout emprunteur vit au dépens de celui qui lui prête, cette leçon vaut une petite crise sans doute?"

Bref, j'aurai fini par faire un bulletin politique et finalement, ça ne fait pas de mal et c'est tellement vrai tout ça.